Mardi 5 février 2019
Comme d’habitude nous n’avons pas eu droit à une connexion spontanée avec la box de la Rimessa et plutôt que de faire compliqué, nous avons préféré faire simple en ayant recours à la connexion de l’IPhone de votre Secrétaire.
Après la lecture du compte rendu de la séance précédente et le visionnage d’une photo de la conjonction du 16 janvier 2019 prise de Sant’Ambroggio, nous avons enfin commencé à regarder le long documentaire fiction présenté par Antoine de Caunes.
Il s’agissait des préparatifs de la mission (fictive, bien sûr) d’un « Voyage autour du Soleil » censée durer 6 longues années. Nous avons décidé de découper ce reportage en séquences. Ce premier extrait de 20 minutes nous a amenés sur l’effroyable planète Vénus. Le second nous fera découvrir Mars…
Nous avons ensuite brièvement débattu de cet extrait en faisant la distinction entre les données scientifiques avérées et ses invraisemblances.
Nous avons ensuite regardé une vidéo Youtube "12parsecs" intitulée : « Vénus, la sœur maléfique de la Terre » . Le commentateur a mentionné le documentaire précédent et a fait le lien entre réalité, fiction et humour.
Notre Président et votre Secrétaire ont ensuite présenté leur diaporama qui s’étoffe peu à peu. Nous avons pu voir l’image la plus récente d'Ultima Thulé réalisé par Ralph, la caméra embarquée de la sonde New Horizons. Un petit problème soumis à l’assistance a mis en évidence les distances astronomiques.
Enfin Paul, notre prolixe Vice-Président, nous a rappelé la notion d’astérisme. Il nous en a montré quelques-uns parmi les plus typiques. Parmi eux citons la cascade de Kemble qui coule entre les pattes de la Girafe qui l’abrite, le cintre qui perd de son utilité lorsqu’il est à l’envers, le 37 (en chiffres arabes) que brandit le chasseur Orion près de sa massue et le Do situé dans la constellation du Taureau.
Nous avons ensuite essayé de retrouver les astérismes cités avec l’aide du fabuleux Stellarium. Nous avons pu pratiquement tous les reconnaître… Cependant, dans les Pléiades, au cœur de cet amas d’étoiles, Dominique avait cru voir nettement se dessiner le sien. Cet organe était effectivement assez évident sur la photo de Paul qui l’avait sans doute trafiquée pour la circonstance. Lorsque, par contre, nous avons voulu vérifier sa présence dans Stellarium, nos avis ont considérablement divergé et le cœur de Dominique au lieu de battre à l’unisson s’est vu déchiqueter en multiples fragments d’oreillettes et de ventricules.